Vous rêvez d’avoir un chien (un setter roux, vif et soyeux), vous voulez même vivre avec. Mais vous habitez un studio. Vous adorez courir dans les prés, nager en eau vive, c’est un besoin vital… Au lieu de quoi vous composez avec des piscines bondées, de tout petits parcs et des tas de particules fines. Vous aimeriez cultiver vos carottes et buller dans les lilas sans pour autant participer au projet de végétalisation urbaine. Vous vous sentez cerné par les périphériques intérieur et extérieur et, soudain, vous étouffez. Je partage votre sentiment. Il faut quitter Paris. Seulement, on ne plaque pas des années d’amours avec la capitale pour un bobtail hirsute… Ensemble, nous allons trouver un plan.
Quitter Paris, Stéphanie Arc, éditions Rivages, janvier 2020. Ils en parlent :
Livres Hebdo
“Pendant les vacances de Noël, Livres Hebdo présente chaque jour un premier roman de la rentrée d’hiver. Avec Quitter Paris, à paraître chez Rivages, Stéphanie Arc décrypte le fantasme de quitter la vie urbaine pour une vie rurale.
“Je voudrais un chien, je vous assure, je voudrais même qu’on vive ensemble”.
Dès les premières lignes de Quitter Paris, le premier roman de Stéphanie Arc prévu chez Rivages le 8 janvier, la narratrice expose ses rêves. Qui se voient contrariés par le fait qu’elle vive à Paris. Quitter Paris est le fantasme d’un retour à la nature, au milieu des grands espaces, loin du bruit et de la pollution. Mais se retrouver en province sans sa compagne, peut également être synonyme de solitude.
“Un texte drôle, tendre et ludique sur Paris et ses habitants : ceux qui l’aiment et ceux qui la quittent, ceux qui s’y aiment et ceux qui s’y quittent” défend l’éditeur.”
À l’école des écrivains
Marie-Claire du 6 janvier