Une manière de renouveler le genre des rassemblements non mixtes, jusque-là réservés aux militantes ?
«Traditionnellement ils étaient très liés au féminisme, pas vraiment glamour. Là ça touche une autre frange des lesbiennes qui ne se sentent pas forcément une fibre féministe», souligne Stéphanie Arc, journaliste, militante à SOS Homophobie et auteur de «Les lesbiennes»
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